PAS UN SCOOP ... LES QUINQUAS PREFERENT LES JEUNES !

C'est inscrit dans les gènes, depuis l'âge des cavernes : côté nana, l'Homo Sapiens qui s'obstine à aimer les femmes, les préfère plus jeunes que lui, passé la CINQUANTAINE rugissante.

Mais qu'ont fait les femmes de 50 ans pour mériter ça? Elles les fatiguent ...

Depuis que nos baby-boomers femelles liftées de près, relookées de frais, aérobiquées au plus près, véritables bombes sexuelles du troisième millénaire ressemblent à leurs petites filles et dansent le chihuaha avec des grâces de gazelles exotiques, c'est vrai que les hommes de 50 berges et plus, éblouis par cette métamorphose, devraient tomber comme des mouches. Roucouler dans leurs âges pour éviter à Cupidon le conflit de générations.

Eh bien, non ! Statistiquement parlant, on est encore loin du compte ...

Les QUINQUAS lambda aux moeurs sans surprise ne cachent pas leur crainte historique de se faire broyer par les femmes matures d'aujourd'hui. Celles qui mènent leur vie au rouleau-compresseur.

APRES PARIS, THE PLACE TO BE ...

S'il y a bien deux QUINQUAS SYMPAS, ce sont eux :

Isabelle et Gérard POULET

les heureux propriétaires de la 

DINANDERIE DE MERAT dans le GERS,

superbe région où, d'autres l'on écrit avant moi, le bonheur est dans le pré !

Allez à leur rencontre, ils vous accueilleront avec la grande gentillesse qui les caractérise, découvrez leur ravissant gîte  et leurs élégantes chambres d'hôtes.

LA DINANDERIE DE MERAT

Ah ! J'oubliais ... saluez-les pour moi et faites moi réserver quelques douceurs gerçoises, entre QUINQUAS, on se doit bien ça !

A PARIS, AU MOIS D'AOÛT ...

PARIS, vide en AOÛT ?

C'est ce que tout le monde croit. En réalité, les parisiens commencent une nouvelle vie.

Ils flânent, ils bronzent, ils roupillent. Ils s'aiment sous les étoiles.

Ils s'ennuient, ils s'enivrent.

Ils sont beaux les parisiens quand ils se laissent vivre... Surprenez-les en flagrant délit de légèreté.

A PARIS, au mois d'AOÛT, il y a comme un parfum de séduction qui flotte.

Cette liberté retrouvée, ces horaires bouleversés par le soleil qui n'est pas pressé de se coucher, les verres de rosé bien frais, et les habitudes nouvelles donnent envie de rêver ...

A PARIS, au mois d'AOÛT, il n'y a plus beaucoup de parisiens, mais le monde entier qui vient à nous en souriant. Ils s'imaginent que c'est la plus belle Capitale d'Europe et nous permettent de voir notre ville autrement.

D'ailleurs, au mois d'AOÛT, PARIS, PARADIS, ce ne sont que deux petites lettres d'écart qui ne demandent qu'à flirter ensemble pendant l'été.

A PARIS, au mois d'AOÛT, on se dit que les parisiens sont bien bêtes de partir en vacances ... ailleurs.